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En 2015, Leica nous offrait un compact très haut de gamme baptisé Leica Q. Véritable boitier à tout faire avec son objectif 28mm Summilux de très haut niveau, son excellent viseur (à l’époque) et une ergonomie à la Leica, le succès fut au rendez-vous et aujourd’hui encore, presque quatre années plus tard, le Q reste un boitier de très haut niveau extrêmement polyvalent, permettant de réaliser de superbes images.
Mais l’heure est venue pour la marque allemande de renouveler et d’améliorer la première livrée en nous proposant une nouvelle version baptisée naturellement Q2.
Il est temps de faire le tour du propriétaire pour évaluer l’étendue des nouveautés en présence.
Présentation :
Ce n’est pas une révolution cosmétique que ce Q2, de prime abord, il ressemble étrangement à son prédécesseur et il faudra un examen relativement attentif pour déceler les différences. La forme et les proportions initiales restent les mêmes et la prise en main identique avec une bonne préhension facilitée par une saignée dévolue au pouce, un revêtement très agréable et efficace. Pas de différence de poids ressentie et un très bon équilibre général malgré l’embonpoint de l’optique 28mm qui n’a pas subit de transformation.
Une fois cette première approche terminée, le jeu des sept différences avec le Q fait apparaître les points suivants :
- La surface de l’écran est plus grande sans que l’écran (3 pouces) soit lui-même plus grand.
- Le boitier est un assemblage en trois parties au lieu de quatre pour le Q, une manière de renforcer l’étanchéité.
- Les boutons de la face arrière sont au nombre de trois comme pour le M10.
- Le bouton de mise sous tension est aussi issu de celui du M10 avec simplement deux positions (on/off).
- La molette de sélection du pouce a été légèrement déplacée et est désormais dotée d’un bouton central programmable.
- Le correcteur dioptrique est détaché du viseur et fonctionne par extraction pour réglage, s’enfonce pour éviter le dérèglement accidentel.
- On notera un changement de la forme du viseur destiné à offrir un dégagement oculaire amélioré.
- Plus de trappe latérale pour les connectiques qui ne sont plus présentes sur le Q2.
- Système de batterie interchangeable identique à celle du SL (changement rapide).
- Une trappe indépendante sous le boitier pour le logement de carte mémoire.
- La bague pour le dispositif macro a été élargie.
- De même que la gâchette de l’objectif élargie elle aussi.
Le boitier, désormais en magnésium (le Q était en aluminium), donne une impression de plus grande rigidité. La conception du boitier elle même a été entièrement revue, volonté affichée de renforcer clairement l’étanchéité globale de l’appareil. Le corps du Q2 central est d’un seul tenant contre deux plus une trappe sur le Q. La semelle n’est plus rapportée comme sur son ainé mais, à l’image de celle du SL, vissée et jointée dans le corps de l’appareil.
Au final, le Leica Q2 peut se targuer de détenir la norme IP52 (inscrite sous le boitier). Cette norme classe le niveau de protection qu’offre un matériel donné aux intrusions de corps solides et liquides.
Selon ce tableau, nous pouvons donc constater que le Q2 nous assure une protection efficace contre les poussières et contre les chutes d’eau jusqu’à 15° de la verticale.
Il n’est donc pas question d’un produit submersible et nous garantissant une étanchéité totale. Ceci dit, le progrès est sensible et l’attachement de Leica à adopter cette norme confirme leur volonté de nous proposer un progrès sensible sur ce point par rapport au Q.
Prise en main :
La légère prise de poids du Q2 (de l’ordre de 70 grammes) ne se ressent finalement pas outre mesure. Si le boitier semble plus solide, l’équilibre global semble un peu plus homogène encore. En réalité, pas de problème de ce côté là même si on pourra toujours regretter que le 28mm ne soit pas un peu plus compact pour des raisons d’encombrement.
Sur la face arrière, comme pour le M10, c’est le concept du M10 qui est repris avec seulement trois boutons de commande (Play, Fn et Menu). C’est bien vu car non seulement cela contribue à une simplification des commandes mais cela permettra aussi à ceux qui possèdent le dernier né de la gamme M de trouver ses marques immédiatement.
Le viseur a bénéficié lui aussi de changements notables. Plus de correcteur dioptrique attaché à celui-ci (nous y reviendrons) et une forme différente. Le viseur est plus grand, c’est indéniable. Il passe de 12x10mm à 17x11mm, c’est à dire une progression de l’ordre de 30%. Cela va faciliter l’utilisation du Q2 pour les porteurs de lunettes avec un recul annoncé de 20mm contre aucun pour le Q première livrée. C’est désormais un viseur OLED (LCD pour le Q) bénéficiant d’une augmentation du contraste et de la colorimétrie. De plus, il sera possible de changer cette dernière en accédant au menu dévolu à cet effet. Chacun pourra donc régler l’image du viseur à son œil, un vrai confort.
Le viseur, critiqué à juste titre dans sa première version, a donc fait l’objet d’une grande attention de la part de Leica. C’est particulièrement évident lorsque l’on compare les deux versions. Sans avoir fait évolué la définition (3,68 Mpx), l’amélioration du viseur sur tous les autres plans est très sensible avec en plus une meilleure couverture de l’ensemble du champ de l’image. Attendu car les viseurs électroniques sont réellement dans une phase de progression évidente, le Q2 ne déroge pas à la règle avec une réelle transformation par rapport au Q.
Le correcteur dioptrique à lui aussi été revu et corrigé. Celui du Q était attaché au viseur et lors de manipulations, pouvait facilement et involontairement être déréglé. Ce fut une critique justifié par les utilisateurs que Leica a finalement corrigé sur le Q2. Sur ce dernier, c’est désormais un bouton poussoir sur lequel on appuie pour le libérer et qui, après réglage, sera enfoncé pour ne plus bouger. La contrainte de dérèglement étant de sorte écartée.
La molette de sélection du pouce a été elle aussi revue en la déplaçant un peu plus sur l’extérieur du boitier. Cela devrait permettre de faciliter les réglages lors de la prise de vue. De plus, elle est désormais affublée d’un bouton central programmable qui donnera la possibilité d’accéder directement à une commande rapide. Par défaut, c’est le changement de valeur de la sensibilité qui est attaché à ce dispositif. Un autre bon point qui facilitera l’accès aux commandes lors de la prise de vue.
Le bouton d’allumage et de déclenchement est désormais celui du M10 (déjà apparu sur le M10-P). Encore une simplification des commandes car il ne reste que deux positions (on/off) et le déclencheur se retrouve au centre d’une coupelle permettant une meilleure sensibilité au déclenchement. Pour le mode rafale, il faudra donc se rendre dans les menus. Chacun jugera de la pertinence de ce changement. Personnellement, ne faisant jamais de rafales, je dirais que c’est plutôt un avantage, d’autres pesteront sans doute de ce changement qui les obligera à des manipulations supplémentaires.
Au rayon des autres changements, on notera la disparition de la trappe latérale du Q qui abritait les connectiques USB notamment. Cette trappe a disparue car Leica a voulu améliorer l’étanchéité globale du boitier. En même temps, ces prises ne sont que très peu utilisées (voire jamais), et le Q2 bénéficie de possibilité de connexions en Wifi bien évidemment mais aussi de l’arrivée de la Bluetooth.
La semelle de l’appareil a aussi fait l’objet de changements notables. A savoir que le logement de la carte est désormais indépendant (et semble mieux protégée contre les poussières et l’eau). Je conseille d’ors et déjà aux acquéreurs potentiels du Q2 de ne pas lésiner sur le choix de la carte qui accompagnera le boitier en terme de vitesse. Il est évident que pour un appareil de cette trempe, il faudra se doter d’une carte très rapide (1000x minimum, 2000x conseillé) sous peine de freiner réellement la vélocité de l’ensemble.
Autre changement de taille sur le Q2, le système de batterie. Directement issu de celui adopté par le SL, il permet ; d’améliorer l’étanchéité du boitier par l’absence de trappe et l’apport d’un joint efficace, de permettre un changement plus rapide sur le terrain et enfin de doter le Q2 d’une progression toujours appréciable de l’autonomie de l’appareil (de l’ordre de 25 à 30%). C’est la batterie même du SL qui est celle du Q2 donc pas de difficulté d’approvisionnement en vue et son prix est de 135 euros.
Si l’objectif (Summilux 28mm f/1,7) reste strictement le même, son ergonomie a été quelque peu revue avec une gâchette élargie pour améliorer la prise en main. La bague dévolue à la macrophotographie a elle aussi été modifiée en la rendant plus large, facilitant sa préhension lors des manipulations.
Pour ce qui n’a pas évolué par rapport au Q, je noterais :
- La stabilisation du boitier inchangée.
- Le bouton de changement des cadres.
- La taille et la définition de l’écran arrière.
- Ecran arrière tactile.
- Le format global de l’appareil.
- Le pad sur la face arrière de l’appareil.
- Le pare-soleil.
- La saignée de pouce.
- Le silence de fonctionnement presque total.
Voilà donc pour la partie visible de l’appareil. Bien évidemment, d’autres changements sont à noter sur le Q2, en voici la liste :
- Recradrage supplémentaire à 75 mm (7 Mpx)
- La définition des recradrages à 35 et 50mm (respectivement 30 et 15 Mpx).
- Nouveau processeur Maestro.
- Dispositif électronique pour permettre d’atteindre 20 images/secondes en rafale.
- Video 4K et C4K (Cinéma 4K).
- Sensibilité native 50 à 50 000 isos.
- Réglage indépendant de la luminosité et de la colorimétrie du viseur.
- Réglage indépendant de la luminosité et de la colorimétrie de l’écran arrière.
- Bluetooth (LTE).
- Présence d’un intervalomètre.
- Viseur réactif instantanément.
- Obturateur électronique passant à 1/40000 secondes.
- Bracketing passant à 5 images.
- …
Au final et pour une vision globale des différences entre Q et Q2, voici un tableau récapitulatif des deux versions.
On évaluera aisément tous les changements et améliorations apportées sur le Q2. Leica a visiblement voulu frapper fort pour que la nouvelle version soit à la hauteur de la première livrée qui a connu un grand succès commercial.
Toutes ces belles promesses sur le papier sont évidemment alléchantes, reste à savoir si tout cela se concrétise en images. Le but clairement avoué du Q2 est de dépasser son prédécesseur, allons voir sur le terrain si l’essai est transformé.
Sur le terrain :
Le Q2 est prétendument protégé contre la pluie. Cela tombe bien, notre belle métropole Lilloise est bien arrosée aujourd’hui. Un petit tour plus loin et une visite au musée des beaux-arts de la ville et me voilà avec une série de photos pour illustrer l’article.
Bon, pas de grande surprise à l’utilisation si ce n’est la réactivité plus marquée du Q2 vis à vis de son prédécesseur. Il est évident que la nouvelle version a été travaillée sur ce point tant le Q2 est un plaisir à utiliser dans la rue. Effectivement, le viseur réagit immédiatement et la visée est bien meilleure à l’usage. Contraste plus marqué et pas d’effet de latence en mouvement. Sur ce point, il n’y a que dans des conditions de lumière dégradée et à haute sensibilité (au delà de 6400 isos) que le viseur numérique montre ses limites. Viseur, qui, effectivement, de par son dégagement oculaire, offrira un confort évident aux porteurs de lunettes.
L’optique est bien évidemment à la hauteur. Ce n’est pas une surprise mais si on pouvait (un peu) douter de sa capacité à tenir la montée en définition (de 24 à 47 Mpx), il n’en est rien et les images sont toujours aussi superbes. Au delà de ces considérations, je continuerai donc à regretter la distorsion à 28mm qui, si elle se corrige facilement à la post-production, nécessite une grande attention à la prise de vue pour ne pas perdre une partie des informations en bordure d’image. Maintenant, n’étant pas un hyper spécialiste de la focale de 28mm, il a fort à parier qu’il me faudrait une habitude plus grande pour contourner ce problème.
Comme pour le Q, on pourra utiliser le boitier avec mise au point automatique ou en manuel (à l’aide du bouton poussoir sur la gâchette). C’est toujours aussi efficace. Le passage en mode macro est très aisé et fonctionne parfaitement.
L’autofocus est très rapide et ne patine jamais, même en condition de lumière difficile. Il est parfaitement silencieux et je n’ai pas réussi à le mettre en difficulté quelque soit le mode choisi. Il faut dire que je ne suis pas un grand spécialiste de la mise au point automatique mais je dois avouer que le fonctionnement de l’autofocus du Q2 est extrêmement efficace. En mise au point manuelle, une loupe se met aussitôt en place ainsi que le focus-peaking. Là aussi, c’est très efficace et rapide. Rien à reprocher de ce côté là et il sera pour le moins compliqué de rater sa mise au point avec le Q2, quelque soit le choix adopté par le photographe.
En mode rafale et après un test rapide, il est possible de faire avaler 14 images en DNG à un rythme très rapide à l’appareil (3 à 4s). Il faudra ensuite une vingtaine de longues secondes pour que le Q2 permette de refaire une rafale complète des 14 images. Comme déjà évoqué, il faudra se doter d’une carte mémoire la plus rapide possible pour que le boitier se sente à l’aise, les 47 Mpx délivrant des images raw de 90 Mo environ. En JPG haute définition, le boitier est bien évidemment plus rapide et c’est 24 images qui pourront être prises en 2 à 3 secondes. On récupérera le Q2 bien plus rapidement qu’en DNG, en quelques secondes cette fois ci. Au final, si le Q2 est un boitier rapide, la photo de sport n’est pas vraiment son terrain de prédilection si ce n’est en JPG où il pourra être d’une efficacité certaine malgré tout.
Concernant les menus, la page d’accueil, comme depuis quelque temps déjà, donne accès d’emblée aux favoris qui pourront être paramétrés pour des changements facilités et directement accessibles. Pour le reste, du grand classique même si quelques nouveautés sont apparues sur cette nouvelle version avec notamment la possibilité de régler la luminosité et la colorimétrie de l’écran arrière ou du viseur, ou également un intervalomètre.
Pour le reste, pas grand-chose à signaler par rapport à ce que nous connaissions du Q. Un boitier, rapide, simple, efficace et qui se montrera une fois encore polyvalent sur pratiquement tous les terrains et dans tous les domaines.
Je vous renvoie à l’article du Q première version afin de compléter le portrait du petit nouveau : https://fae59.com/2015/06/15/le-leica-q
La qualité d’image :
Bon, disons le de suite, les 47 Mpx du Q2 ne se voient pas immédiatement sur les images une fois transférées sur mon Mac Book Pro 15 pouces. La définition supérieure est bien là mais au il faudra sans doute un écran plus grand pour apprécier totalement l’évolution sur ce point.
La qualité d’image est irréprochable à taille normale avec une absence presque totale d’aberrations chromatiques (ce qui est un vrai bon point). Il ne sera pas nécessaire de booster l’optique pour les adeptes du piqué car l’ensemble est très équilibré naturellement. La colorimétrie est excellente et plutôt douce, elle est facilement boostable par post-traitement tout en conservant un aspect très naturel. La balance des blancs est fiable dans la grande majorité des cas, je n’ai eu à déplorer qu’un ou deux cas ou une correction s’est avérée nécessaire au post-traitement.
Par contre, ce qui est remarquable pour les adeptes du recadrage, c’est qu’il sera possible de croper ses images de manière très brutale en gardant une définition de très haut niveau. Un agrandissement de 100% est tout à fait exploitable dans toutes les conditions et repousse d’emblée les limites envisageables. C’est évidemment un gros plus, notamment pour ceux qui voudront utiliser les recadrages qu’autorisent le Q2 en 35, 50 et 75mm (des exemples sont présents dans la galerie qui suit).
La montée en haute sensibilité est tout aussi remarquable. Jusque 6400 isos, rien à signaler sinon une image propre et qui ne nécessitera aucun post-traitement. A 12500, j’avoue avoir été impressionné pas la propension du boitier à se sortir haut la main de l’exercice. Les images sont réellement très propres et ne nécessitent là aussi qu’un post-traitement minimaliste pour obtenir de bien beaux résultats. Comme d’habitude avec les boitiers Leica, un léger grain apparaît mais il est très esthétique en faisant véritablement penser à celui que nous connaissions avec les films argentiques. Il n‘y a guère qu’à 25000 et 50000 isos que le boitier rend l’âme avec l’apparition de banding et une image fortement dégradée qui nécessitera un post-traitement poussé pour un résultat acceptable. Pour information, je ne parle évidemment que de fichiers au format DNG, n’utilisant pas les JPG.
Au final, le contrat semble remplit avec une qualité d’image de très haut niveau qui permettra des agrandissements d’excellente définition, des recadrages de folie et une utilisation des hautes sensibilités presque sans contraintes. A mon sens et au regard de ma pratique, ce n’est pas forcément le point crucial de l’attrait du Q2 mais j’avoue que le travail réalisé sur l’ensemble capteur/processeur est de nature à combler ceux qui voudraient l’acquérir.
Conclusion :
Le Q2 était très attendu tant le Q était déjà plus qu’une promesse. Cette dernière version apporte de telles améliorations qu’il sera inéluctablement difficile de résister à son arrivée. Leica n’a pas simplement décliné sa première livrée par l’ajout de quelques fonctionnalités ou une augmentation de la définition. La marque allemande s’est attachée à revoir le boitier en profondeur, répondant à la plupart des critiques et vœux émis par les utilisateurs. C’est donc un véritable nouveau compact très haut de gamme qui nous arrive, avec une toute nouvelle personnalité que ne renieront pas les possesseurs de Q. Le Q avait été un vrai succès commercial en ouvrant la voie au concept du boitier unique, adopté par les professionnels et particuliers, ne doutons pas que le Q2 suivra ce chemin aisément tant il est abouti.
A 4790 euros, soit une augmentation de 600 euros par rapport au Q, il est vrai que la facture est quelque peu salée. Mais au regard des points revus sur le Q2, on pourra se dire que c’est en grande partie justifié.
Addendum : Et pour ceux qui ont déjà un Q ?
Pas de panique, le Leica Q reste et restera une valeur sûre. Il est évident que le Q2 se montre alléchant au regard de tout ce qu’il propose de plus que son ainé. Malgré tout, le Leica Q continuera à délivrer de superbes images. C’est un boitier complet, attachant et qui assure, de par sa grande polyvalence, de très beaux résultats à celui qui sait s’en servir. Il est certain que le marché de l’occasion du Q risque de connaître une activité pour le moins accélérée et pour celui qui n’a pas le budget pour un Q ou Q2 neuf, il y aura vraisemblablement de belles affaires à réaliser. Pour celui qui pourra l’acquérir aux alentours de 2500 euros, prix que j’imagine cohérent dans les semaines qui viennent, il s’agit d’une véritable aubaine.
Je remercie tout particulièrement le Leica Store de Lille pour leur sympathie et grande disponibilité et leurs conseils avisés, me mettant à disposition le Leica Q2 dès son arrivée.
Ci-dessous la galerie d’images test a été réalisée avec le Leica Q2
Cliquez sur la première image pour voir la galerie…
Click on the first image to view the gallery…
Sympho. a dit:
Toujours l’un des premiers.
Toujours de très bons articles tant sur le fond que sur la forme.
Bravo et merci pour ce partage de qualité !
fae59 a dit:
Merci beaucoup.
Alain a dit:
Merci pour cette revue complète et bien détaillée (comme d’habitude :-))
Si seulement ils sortaient une version avec objectifs interchangeables…
fae59 a dit:
Merci beaucoup pour le retour.
Ce n’est pas la vocation du Q qui reste et restera, à mon sens, un compact très ahut de gamme avec un objectif de 28mm et des recadrages à 35, 50mm de qualité pour un appareil qui se veut universel (du grand angle au télé-objectif.
BRIS Jean-Pierre a dit:
Toujours une analyse très pointue , une critique éclairée et image à l’appui Gilles … Je peux que confirmer tes dires suite à cette première prise en main et sensation d’avoir au bout des doigts un nouveau vaisseau amiral de la marque au point rouge.
fae59 a dit:
Merci beaucoup Jean-Pierre et au plaisir de se croiser à nouveau bientôt.
Emmanuel a dit:
Merci pour l’article déjà riche (comme les autres du reste).
Quelque chose me dit que j’ai bien fait de patienter un mois, et que ce Q2 sera bientôt mien. Mon premier Leica !
La qualité de ce site a fortement acceleré ma décision; je vous tiens pour co-responsable de cette « folie »
fae59 a dit:
Merci beaucoup Emmanuel.
Heureux d’avoir pu contribué à vous guider dans votre choix.
Bonnes photos avec ce très beau Q2.
Emmanuel a dit:
Avec quel logiciel ont été traités les DNG de la galerie ? Car je suppose que le Q2 nécessite une mise à jour de Capture One Pro et consorts ?
Emmanuel a dit:
Je m’auto réponds : pas besoin de mise à jour, Capture One Pro 10 sait traiter les DNG du Q2.
fae59 a dit:
Avec Lightroom 6 qui ne pose aucun problème pour un post-traitement de qualité.
teiki arii a dit:
Article plutôt exhaustif et informatif sur les différences entre les deux générations: bravo. Un Leica Q2 qui arrive à maturité. Un prix « raisonnable » pour du Leica. Un appareil très tentant en vérité… Pour celui qui peut se le permettre, à prendre en considération.
fae59 a dit:
Merci beaucoup.
Un vrai must que ce Q2…
Chorus a dit:
Merci pour ce retour.
Pour une fois, je trouve le prix assez juste, comparé aux FF à objectifs interchangeables de capteurs similaires.
Le Q en version 2 semble désormais parfaitement abouti et devrait pouvoir accompagner longtemps son propriétaire. Difficile de lui trouver une faille ou un point faible. La prise en main sans grip peut-être ? De la belle ouvrage en tout cas !
C’est à mes yeux le meilleur boitier Leica à ce jour et j’avoue qu’il est très tentant.
Reste la qualité des images à 50 et surtout 75mm… Avec 15MP et 6,6MP, je m’interroge. Pouvez-vous nous en dire plus sur ce sujet ?
Pallas a dit:
Bonjour, je voudrais vous poser une question: Quel différence il y a entre une image faite à 35mm et une image cropée à 35mm? Une photo cropée à 35mm est identique à une photo faite à 35mm? Illustrer votre réponse avec une photo serait l’idéal.
Un grand merci. Rony.
fae59 a dit:
Bonjour Rony,
Une image faite avec un objectif de 28mm de focale cropée à 35mm reste un recadrage d’une image faite à 28mm.
Elle n’est donc pas strictement équivalente en terme de perspective ou de bokeh par exemple qu’une véritable image faite à 35mm.
Malgré tout, le résultat est souvent très très proche et il sera même très souvent difficile de faire la différence entre les deux…
Malheureusement, je n’ai pas d’image pour illustrer mon propos.
teiki arii a dit:
La différence, c’est surtout la résolution qui passe de 47Mp @ 28mm à 30Mp @ 35mm.
Cedric a dit:
Merci de cette revue. Une évolution du Q, à n’en pas douter, mais pas spectaculaire. Un peu comme si l’appareil était de même génération, mais en version 47MP, comme les appareils proposés chez Canon, Nikon et Sony, qui sortent en deux résolutions.
fae59 a dit:
C’est une façon de voir les choses effectivement et je confirme que le Q reste un excellent appareil, l’arrivée du Q2 ne le reléguant pas à un simple faire valoir.
Comme expliqué dans l’article, le Q permettra de faire de très belles images, pour longtemps encore…
Maintenant, dire que le Q2 est simplement une version 47 Mpx du Q me semble inexact.
Le nombre d’améliorations et corrections apportées à la nouvelle version est pour le moins conséquente et ne se limite évidemment pas à une unique augmentation de la définition et de la tropicalisation.
Le boitier dans son ensemble, même si c’est la même base, a été repensé en profondeur pour le rendre encore plus universel, confortable et performant :
– Le viseur est très nettement amélioré : pas en définition effectivement mais il est plus juste en colorimétrie et en contraste avec un dégagement oculaire significatif.
– Le correcteur dioptrique est désormais bloqué une fois réglé.
– Ce viseur fait l’objet d’un réglage de colorimétrie et de luminosité indépendant, de même que l’écran arrière.
– La protection à la pluie et à la poussière est en progression très nette (même si il n’est pas complètement étanche), le boitier étant repensé dans sa conception même (en trois partie contre quatre pour le Q). J’ai volontairement utilisé le Q2 sans contraintes lors du test en extérieur alors qu’il pleuvait de manière conséquente ce jour là, un simple coup de chiffon au retour et aucun problème à déplorer…
– Le système de batterie identique au SL permet un changement plus facile et rapide tout en augmentant clairement l’autonomie.
– Le bouton de mise sous tension (deux positions) et le déclencheur sont maintenant identiques à celui du M (système de coupelle très efficace).
– La face arrière à été modifiée pour se rendre identique à celle des M dernières générations (trois boutons).
– Le logement de carte est désormais indépendant.
– L’obturateur permet d’atteindre 1/40000 secondes en version électronique et est véritablement plus silencieux.
– La vidéo offre la 4K et la C4K.
– La sensibilité native est passée à 50 isos.
– Le processeur est plus puissant.
– …
La liste n’est pas exhaustive mais je crois que l’on peut s’accorder à dire que ce Q2 est clairement une avancée significative du concept d’un compact très haut de gamme hyper polyvalent, simple et efficace.
Leica ne s’est pas contenté, à mon sens, d’une simple évolution de la définition et de trois ou quatre points comme parfois observé lors de l’arrivée d’une nouvelle version d’un appareil.
Chacun jugera de l’opportunité d’acquérir ce Q2 (technique, financière…) pour un premier achat ou pour un remplacement de son Q mais je crois que Leica s’est évertué à faire de ce Q2 un boitier plus universel encore avec une mise à niveau que je trouve personnellement considérable.
Je ne doute pas non plus de l’arrivée conséquente de Q d’occasion à prix raisonnable, pour le plus grand bonheur de ceux qui ne pouvaient l’acquérir neuf ou qui cherchent un deuxième boitier efficace et performant.
Chorus a dit:
Vu de ma fenêtre, il y a autant de différence entre le Q et le Q2 qu’entre la dernière Aurus et la nouvelle Corolla, ou entre la Clio 4 et la Clio 5. Le plus important n’est pas l’extérieur du boitier mais bien tout ce qu’il apporte de nouveau et qui est très bien détaillé ici.
Jean-Pierre MONIN a dit:
Excellent article et excellentes réponses aux commentaires !
Pourriez-vous envisager un comparatif entre le Q et le Q2 de photos prises dans des conditions identiques ?
fae59 a dit:
Merci pour le retour.
Je vais essayer de faire ce test rapidement qui sera certainement très instructif.
François a dit:
Encore un bel article. Toujours précis, et assumant parfaitement la subjectivité dont l’auteur fait preuve. Subjectivité que je partage presque tout le temps !
Possesseur d’un Q depuis 2 ans et demi, j’ai craqué il y a 6 mois en m’achetant également un M d’occasion. Ce site m’a beaucoup aidé dans le choix du modèle du boitier mais aussi de l’objectif. Merci donc pour toutes les informations très utiles que j’ai pu y trouver.
Mais passons au Q2. Pour ma part, le Q me comble déjà pleinement. Et si je confesse avoir moi aussi un peu cru que le Q2 n’était qu’un Q tropicalisé et avec une forte augmentation du nombre pixels. Je reconnais après la lecture de l’article que Leica ait bel et bien repensé le boitier, gommant les quelques « défauts » de la première version.
Je ne pense pas qu’une version avec objo interchangeable serait une bonne idée. Il y a le M pour cela.
Pour le moment je ne pense pas craquer pour le Q2 tant il me semble être encore bien bien loin des limites du Q.
La meilleure nouvelle dans cette sortie, c’est effectivement une probable baisse des prix de l’occasion pour le Q, mais surtout le fait qu’il y en est plus sur le marché car je crois qu’il n’est pas évident d’en trouver !!!!!
fae59 a dit:
Merci beaucoup pour ce retour et toujours heureux de pouvoir aider à faire des choix dans l’offre pléthorique qui nous est offerte.
dinetf a dit:
Bravo pour cet article.
Trouve t’on des dng à télécharger, histoire de fouiller un peu? possesseur d’un m (262), je me pose la question de savoir si les M pourraient passer en 45mo (même si 24mo suffisent pour 95% des utilisations)?
fae59 a dit:
Merci beaucoup pour le retour sur l’article.
Il y a des DNG téléchargeables sur le site de Leica.
http://fr.leica-camera.com/Photographie/Leica-Q/Leica-Q2/Preuves-de-performance
En ce qui concerne le Leica M, la prochaine évolution du boitier sera vraisemblablement équipée d’un capteur avec une définition plus grande et on peut imaginer un équivalent de celui du Q (47 Mpx).
Bastien a dit:
Bonjour, bien bel article, complet et il me semble fait avec le coeur.
Il y a un mois de ça je me décide de reprendre ma passion pour le photographie en main et me plonge dans la prospection d’un appareil à la fois polyvalent, léger et délivrant des images de qualités. J’en arrive à la conclusion que le Leica Q est fait pour moi !
Début mars, je me rends donc en magasin pour terminer mon choix et éventuellement repartir avec un « Q ». Et là, patatra, mon étude de marché mes convictions remise en question … le vendeur m’annonce l’arrivée imminente du Q2 ! des améliorations en veux tu en voilà …
La question se pose, en effet l’achat d’un Q2 à 4790€ sera plus évidente face à un Q premier du nom neuf à 4000€. Mais, est il raisonnable de penser que un Q récent, bien entretenu et « d’occasion » à 2500€ ne serait pas une meilleure affaire ?
La décision est dure à prendre et je suis vraiment torturé par ce choix.
Pouvez vous m’aider ?
Je fais de la photo de paysage, proxi-photo florale, photo culinaire et famille nombreuse oblige, photos de famille. Je ne suis pas un professionnel, tout juste un pur passionné exigent.
Merci !
fae59 a dit:
Bonjour Bastien,
Tout d’abord, merci beaucoup pour le retour sur l’article qui n’a d’autre volonté que celle de partager la passion de la photographie.
Effectivement, le Leica Q2 fraichement arrivé change drastiquement la donne car il livre indéniablement son lot d’améliorations et corrections non négligeables qui apportent, à mon sens, au nouveau venu, un véritable avantage pour celui qui souhaite le meilleur. La qualité réellement supérieure du capteur, du viseur, de l’ergonomie globale notamment apporte un gros plus pour celui qui souhaite le boitier le plus abouti en terme de compact expert.
Comme expliqué dans l’article, Leica, s’appuyant sur une base déjà remarquable, a revu le concept du Q en profondeur pour nous proposer un boitier extrêmement performant, complet, fiable et mieux protégé contre les agressions extérieures (poussière et pluie). Un vrai travail en profondeur qui a porté ses fruits et non une simple évolution de la définition même si cet aspect est important car il a permis de doubler la dite définition.
Pour avoir eu les deux modèles en main le week-end dernier, le ressenti est bien évidemment à l’avantage du Q2. Sans être largement en retrait et sans démériter, le Leica Q accuse clairement son ancienneté par rapport au petit nouveau qui apporte vraiment un confort d’utilisation optimal avec des fonctionnalités et une ergonomie bien supérieures.
Il n’en reste pas moins que le Q première génération reste un excellent parti, très performant et qui pourra suffire à un amateur exigent qui recherche la performance et la polyvalence pour tout type de photographies. Le Q a largement fait ses preuves en comblant ses acquéreurs, les très belles images réalisées sont bien évidemment le meilleur témoignage de cet état de fait.
Au final, c’est un choix difficile car les deux options ont chacun leurs avantages et inconvénients si on se place uniquement sur la base de rapport qualité prix.
Maintenant, si je devais me prononcer pour essayer de vous guider dans ce choix épineux, je dirais que sans considération de prix et si vous souhaitez revivre votre passion pour la photographie de la manière la plus intensive, je m’orienterais sans hésitation aucune vers le Leica Q2. Le leica Q est sans conteste une très bonne affaire à 2500 euros et sera un excellent choix par défaut pour celui qui ne dispose pas d’un budget lui permettant d’accéder à la dernière livrée. Malgré tout, si vous étiez décidé pour investir les 4000 euros demandés pour le Q, je vous conseillerais sans aucun doute de pousser un peu le curseur en acquérant le dernier né qui vous fera bénéficier des multiples améliorations du compact Leica, améliorations encore une fois extrêmement significatives.
Voilà, j’espère avoir pu vous aiguiller quelque peu sur ce choix difficile mais qui reste un choix de roi tant les deux options sont viables au regard de votre pratique.
En restant à votre disposition.
Bon choix et surtout, bonnes photos…
Bastien a dit:
Bonjour, c’est toujours un plaisir que de voir que les questions posées ne reste pas dans un couloir.
Non seulement vous m’apportez une réponse, mais en plus vous l’étayez.
J’ai naturellement suivi l’option du Q2, à la maison depuis jeudi.
Trop pour pour faire un retour objectif et pour cause … ce boîtier délivre tellement de plaisirs et d’émotions ! Je suis conquis !
Encore merci pour votre reponse et bravo pour votre site !
GRUSON Claude a dit:
Ai eu un Leica Q, enchanté…je prendrais bien le « 2 » mais indisponible partout, a-ton une idée du délai pour approvisionnement normal ? Je garderais mon Sony A7R3 pour les longues focales > 100mm et revendrais mes courtes focales Sony et Zeiss
fae59 a dit:
Bonjour,
Le Q2 est véritablement une grande avancée malgré une première version déjà très aboutie.
Malheureusement, son succès fait qu’il est actuellement difficile à trouver et les délais incertains.
Impossible donc de savoir où se le procurer au plus vite, un peu de patience et le plaisir n’en sera que plus grand…
Gruson Claude a dit:
Merci pour l’ article et le conseil de zenitude, facile à suivre puisqu’ actuellement en terre bouddhiste (Thailande, Cambodge), ai regardé à Bangkok : « no Q2 sir ».
Mikaël a dit:
Bonjour,
Ma question serait : Quid de la taille des fichiers à 40MP ? Je suis photographe de rue et j’avoue que sur un voyage la carte peut vite être remplie. Est-ce qu’il y a une possibilité de réduire la qualité du RAW ?
Merci
fae59 a dit:
Bonjour,
Les fichiers pèsent 90 mo environ pour le Q2. Il n’y a pas possibilité de réduire la qualité du raw ( pas de raw compressé).
Il faut des cartes rapides (1000x minimum) pour exploiter pleinement le boitier.
Les cartes ne sont plus très chères et en avoir plusieurs ne pose pas de problème particulier.
Et le Q2 est parfaitement à l’aise dans la rue, c’est même son domaine de prédilection…
Mikaël a dit:
Bonjour,
Merci pour votre réponse. Il ne fait aucun doute sur le fait qu’il soit à l’aise dans la rue. C’est pour cela qu’il m’intéresse grandement. Un peu « bon à tout faire ». Mais la taille des raw m’effraye un peu notamment le fait de devoir avoir plusieurs carte SD et le stockage une fois les raw transférés.
Pascal a dit:
Bonjour,
la 1ère version à chuté en dessous les 2000 €.
Avec 47 mpixels, il est désormais plus réaliste de l’utiliser en équivalant 35mm en ayant encore 30mpixels
Et puis IP52 est un gros plus
fae59 a dit:
Bonjour,
Ce tarif qui serait inférieur à 2000€ me semble pour le moins optimiste.
Un vendeur sérieux (hors cas exceptionnel) le proposera plutôt aux alentours de 2500€/3000€ selon le modèle (Q, Q-P, Q Titane…), l’état, l’ancienneté (garanti ou non) et les accessoires fournis.
Donc, attention aux arnaques et aux annonces trop alléchantes.
Pierrick a dit:
Comme toujours la perfection à l’état pur. Je parle du test évidemment ! Merci encore.
fae59 a dit:
Merci beaucoup Pierrick.
Jean-François Benedetti a dit:
Bonjour Gilles et un grand merci pour ton test. Lecture décisive avant achat.
Bonne continuation, JF Benedetti.
fae59 a dit:
Salut Jean-François,
Excellent choix, bonnes photos.
Guy Jacquinot a dit:
Merci pour cet article. Des problèmes de vue m’avait fait abandonner le M pour un Q. Mais, après lecture de ce test, je vais opter pour un Q2.
fae59 a dit:
Bonjour Guy,
Une belle évolution en perspective donc…
Kostia Milhakiev a dit:
Bonjour. Commentaire tardif après la parution de cet article. J’en remercie l’auteur (qui avait eu la gentillesse jadis de noter mon goût pour le bokeh avec mon Noctilux sur un autre site, dans un autre temps photographique…) Bref, suite à des soucis de vision, j’ai décidé de me séparer de tout mon matériel M240 + optiques (Noctilux compris). J’ai donc essayé et acheté bien vite le Q2 qui est une merveille, hormis peut-être un petite fragilité du revêtement. Mais, à force de lire vos chroniques, j’ai senti un énorme chagrin m’envahir et, à peine mon 240 revendu, je viens d’acheter un M10 d’occasion (il me reste heureusement quelques optiques Leica de qualité, pas encore revendues). Car comment résister à ses envies, à sa passion, après la lecture de vos compte-rendus si précis, agrémentés — pour nous en convaincre encore plus — des photos d’accompagnement ? Merci donc du temps heureux que vous me faites passer sur votre blog, même s’il vient de me faire changer de décision quant au M (avec lunettes). Il m’a rassuré encore plus sur les qualités du Q2. Je vous envoie des salutations nordiste depuis l’autre bout de la France où j’habite désormais.